Lyon Turin, une fin programmée?
à découvrir un article paru dans le magazine challenge sur ce lien.
extraits: "« Notre dette est soutenable si nous l'empêchons de croître et si nous en payons les intérêts rubis sur l'ongle. Nous pouvons le faire, à condition d'étaler un peu les dépenses et de ne plus rien financer par de la dette ». Sous-entendu : les travaux mettront un peu plus de temps, et les nouvelles lignes à grande vitesse les plus controversées seront certainement annulées – ce serait la fin de Bordeaux-Espagne, de Lyon-Turin, ou de Paris-Normandie, ce qui ne serait pas forcément un scandale, puisque des solutions moins onéreuses existent déjà" (dixit guillaume Pepi)
Olivier Cabanel